Voici pourquoi Samsung fera encore des Galaxy Note
Malgré la catastrophe de 2016, Samsung continue de miser sur sa gamme Galaxy Note.
Samsung l’a confirmé cette semaine
Cité par notre confrère CNET, DJ Koh, patron de Samsung Mobile, promet même un smartphone « meilleur, plus sûr et très innovant ».
Le constructeur aurait pu remplacer la gamme Note afin de faire oublier son fiasco de l’année dernière. Mais d’après Samsung, parmi tous les produits de la marque, les Galaxy Note auraient la plus large base de clients loyaux. D’autre part, cette marque est presque devenue un emblème chez Samsung, puisque c’est avec le Galaxy Note qu’il a lancé le format phablette dans l’industrie des smartphones. Et enfin, le patron de Samsung Mobile aurait des raisons personnelles de conserver la gamme : c’est son équipe qui a conçu la première version du stylet S-Pen, devenu la marque de fabrique des Galaxy Note.
Cette fidélité des utilisateurs des Galaxy Note pourrait même conduire Samsung à remettre les appareils qu’il a rappelés sur le marché, après reconditionnement, maintenant que les problèmes qui ont causé les explosions ont été identifiés. Du moins, récemment, Reuters a indiqué que Samsung ne savait pas encore s’il allait le faire ou bien récupérer des composants pour les utiliser sur d’autres produits.
Un problème de batteries et seulement de batteries
Pour rappel, en début de semaine, Samsung avait organisé une conférence de presse pour révéler les résultats de son enquête (menée avec des entités tierces) concernant le Galaxy Note 7.
Le problème provenait des batteries d’un fournisseur, dont une électrode subissait des déflexions. Lorsque Samsung a organisé le premier rappel du Galaxy Note 7, un autre fournisseur a accéléré sa production afin de répondre à l’énorme besoin en smartphones de remplacement, ce qui a conduit à d’autres problèmes de fabrication.
En tout cas, Samsung a insisté sur le fait que les autres éléments du Galaxy Note 7, comme le processeur, les capteurs ou le design, n’ont rien à voir avec les explosions. La partie logicielle n’y serait pour rien, également.